7 février 2010
Les doigts dans la prise de conscience.
Chocolat. Deux bières. Et basta. J’ai eu comme un éclair de lucidité. C’était vendredi soir.
Je me suis glissée dans mes draps, seule. Ou plutôt accompagnée d’une certaine fierté à avoir dit non. Non. Tu ne me plait pas assez pour avoir envie de me mélanger à toi. Non je n’ai pas envie de ça. Non. Non je ne suis pas dans le besoin d’amour dépareillé. Non tout court. Non raide, franc et tranchant. Je sais dire non. Wha. Je sais dire non. Non en moins de deux heures.
Je me suis couchée tôt. Fière. Et réveillée avec une once d’amour propre en plus.
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